Putain, ça a pas loupé. Y' m'auront laissé faire trempette que deux jours, ces deux tarlouzes de Guéant et Saussez. Deux jours, et hop ils me font rentrer, les foies devant le tollé finalement et forcément provoqué par leur idée débile de m'envoyer amuser les gazettes depuis le milieu de la Méditerranée, aux frais du milliardaire à qui Carolis a refilé la SFP y'a moins d'un an (d'après ce que j'ai compris sur Bollo dans ce que m'a raconté Martin, mais je suis pas sûr d'avoir tout compris, Cilia me faisait une petite gâterie -- la première depuis six mois, putain ! --, et mon téléphone marche mal depuis que ce petit naze de Louis a joué au foot avec sur le pont de ce bateau à la con -- et les pièces détachées Sony-Ericsson au large de la Valette, mes officiers de sécurité m'ont confirmé que c'était dur à trouver ; on a bien pensé demander à un hélico de faire l'aller-retour entre la Fnac-Etoile -- Cilia a un bon contact avec le responsable du rayon téléphonie là-bas, sans compter les prix que me fait Olivennes depuis l'autre fois -- un aller/retour "dépannage" en hélico entre l'Etoile et le "Paloma", donc, mais je crois que c'est ce con de Guéant qui a encore mis son veto...)
Bon sinon, qu'est-ce que je disais ? Ah ouais, n'empêche que ce con de Guéant et cette tarlouze de Saussez, z'ont donc mis moins de 48 heures à retourner leur veste à propos de leur idée de plan-vacances pour Bibi et sa petite famille décomposée. "Huit jours au moins" que je devais souffler "sans trop me préoccuper" du business, qu'il m'avait dit, le Guéant. "Faut que t'habites et ton couteau, la fonction présidentielle et tout ça", qu'elle avait rajouté, la Sausse, toujours aussi spirituelle...
Faut dire qu'ils ont pas été tout à fait aidés, entre le Bollo lui-même qui nous pond un communiqué où il compare ma sauterie climatisée au retour de Büchenwald de Blum (mais où il est allé chercher ça ?!? Je me doutais qu'ils fumaient des trucs, à Direct8, mais à ce point-là...) ; et même moi qui trouve rien d'autre à dire au moment de mon jogging-conférence de presse (commandé par la Sausse en me prévenant au dernier moment, comme d'hab', grrr...) que ce maître du néocolonialisme françafriquain n'a jamais bossé avec l'État...
(Ce con de Saussez s'est aussi permis de critiquer ma formule "Au contraire, Vincent Bolloré est un de ces génies désintéressés dont la France manque tant et qui grâce à leur labeur acharné ont les moyens de pouvoir *donner de l'emploi* à cette plèbe de merde tout juste bonne à me filer 'démocratiquement' à moi et mes sbires les pleins pouvoirs..." -- comme quoi, m'a dit la Sausse, "donner de l'emploi", ça ferait "un peu Ancien Régime, carrément condescendant, limite néo-esclavagiste"... Non mais je te jure, et pis quoi encore, c'est quand même pas Saussez qui va se mettre à vouloir me faire faire du Marx, non ? Déjà que j'ai dû me taper tout Jaurès et la moitié de ce petit pédé rital, comment c'est déjà ? Ah oui, Gramsci, pendant la campagne à cause de cette grosse merde mal démaoïsée de Guaino que le dépressif de la Cour des comptes avait absolument tenu à me foutre entre les pattes ; non mais je te jure ; merde alors !... )
Bon, OK, cela dit, et comme le sous-entend le dernier SMS de Gégé-le-psy-de-la-Ruquerie (
trop bonne sa DailyMotion vidéo où il fait semblant de me comparer au Borgne, au fait ! L'avez vue au moins ?), on ne peut pas tout à fait exclure l'idée qu'on a peut-être déjà tous commencé à perdre un peu la boule... Je veux dire plus qu'avant encore ; plus que quand j'appelais moi-même le Canard pour descendre cette enflure de Gaymard...
Perdre la boule et dire n'importe quoi... Et moi qui n'ai jamais cessé de me foutre de la gueule du Vieux, au moindre "pschittt" dans ses déclarations... Faut dire que lui a *vraiment* toujours eu l'air sénile, non ? Bon, OK, j'suis p'être pas objectif ; le Goîtreux et moi, ça fait depuis 1978 et son appel de Comachin qu'on le trouve à côté de la plaque, le grand con... Faut que j'aille voir si le jacuzz' a fini de couler, d'ailleurs.
Mmm, au fait, n'empêche qu'avec tout ça, je sais toujours pas si cette minaudeuse de Rachida m'a trouvé le numéro de portable de Schneiddy... (1) (J'finirais par remettre cette baleine de Bachelot au gouvernement à sa place si elle continue à se foutre de ma gueule comme ça, hein, la mal bronzée... )
Savez quoi ? Avec un début de règne de merde comme ça (de merde par rapport à ce que m'avait promis le Patron, en tout cas), manquerait plus qu'un Berlusconi se mette à faire le malin en clamant, par exemple, que je l'aurais pris pour modèle...
Comment ? Ah, ça, c'est fait aussi ?
Bon, moi je vais voir si c'est bon pour le jacuzz', hein.
Pis je me demande si ce blog finalement me tape pas autant sur le système que le reste. Quand je pense que demain, j'ai une journée où je vais devoir faire des risettes et à La Raffine, et à ce pédé communiste de Thuram, et au Vieux et à son logeur libanais... Tout ça à cause d'une histoire d'esclavage, en plus, justement... Ouais, pas sûr que je trouve la force de venir vous raconter tout ça...
Le seul truc qui pourrait maintenir un peu ma motivation, c'est que j'ai déjà vu passer une fiche des RG qui raconte que certains gauchistes ont peur que ce blog me "guignolise" au sens "père-Vert" du terme (ce terme technique-là, je dois dire que j'ai pas bien compris), et me rende plus sympathique que je ne suis. 'Tain, y z'ont déjà peur pour 2017, ces faux-jetons, ou quoi ? Moi de toute façon, c'est plié, j'ai signé avec le Patron que jusqu'à la campagne de 2012 incluse...
A plus, mes petites bites, hé-lecteurs de mes deux... De toute façon, vous perdez rien pour attendre, soyez-en sûrs...
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(1) Voir le premier épisode,
http://niko-le-blog.blogspot.com/2007/05/putain-2-heures.html
'est Le Figaro qui a publié, mercredi 23 mai en "une", la photo officielle du président Sarkozy. Selon le quotidien, le cliché a été pris dans la bibliothèque de l'Elysée, "comme de Gaulle, Pompidou et Mitterrand. Jacques Chirac avait, lui, préféré le parc de l'Elysée". C'est Philippe Warrin, de l'agence Sipa, un photographe notamment spécialiste de clichés de "people", qui a immortalisé le nouveau président.
